Page:Le Degré des âges du plaisir, suivi de L’École des filles, 1863, T2.djvu/131

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dant que le membre de l’homme est dans le vagin ; car en ce moment il s’enfle, se roidit en se remplissant d’esprits et la sensation voluptueuse est produite par la verge qui, dans son mouvement de va et vient, la frotte continuellement ; aussi pour qu’une fille ait un grand plaisir il faut que cette partie ait, pendant l’action, au moins un pouce de long ; enfin l’entrée du vagin doit être étroite afin que le membre viril étant pressé de toutes parts, le frottement soit général et le plaisir partagé par les deux ; pour terminer, je dirai qu’il faut que la femme ait tant de beautés que le galant, à leur vue, soit dans le transport avant que d’être arrivé jusqu’à la douce conjonction. Sache bien, du reste, ma chère Fanchette, qu’il faut aussi que, de son côté, l’homme soit beau et bien fait pour que la jouissance soit parfaite en tous points ; je veux de plus que la fille observe toujours les convenances, c’est-à-dire soit modeste en certaines choses sans pour cela refuser quoi que ce soit que l’amour exige ; qu’elle ait l’air seulement de céder à une douce violence quand même la chose qu’on exigerait d’elle lui conviendrait beaucoup. Ainsi lorsque l’amant l’a enfilée et qu’il la secoue effrontément, il faut