aquilin et un peu grand, la barbe épaisse noire et
dure et le corps couvert d’un poil épais, l’estomac
un peu bombé, les reins bien cambrés et les fesses
bien charnues ; lorsqu’il embrasse sa maîtresse
il faut qu’on remarque qu’il la serre bien étroitement,
et à peine l’aperçoit-il, qu’il la renverse
sur le lit, lui prend les deux cuisses, qu’il place
sur ses hanches, l’enfile avec vigueur et la secoue
comme une marionnette. Il doit avoir la jambe
droite, avenante et non cagneuse ; ses cuisses doivent
être velues, indice certain d’une grande vigueur ;
mais si tu savais, ma cousine, combien un
homme, dont le ventre est couvert d’une forêt de
poils noirs et frisés, offre d’agréments, surtout
quand on sent au-dessous un membre raide et
musculeux, long de 8 à 9 pouces et gros à proportion,
au bout duquel on voit sortir un beau gland
large de deux doigts et rouge comme la crête d’un
coq, le tout accompagné de deux testicules, dont
la peau velue renferme les trésors de l’amour !
Comprends-tu combien une fille doit sentir de
plaisir lorsque ce membre pénètre dans son bijou ?
Cette seule pensée me fait pâmer d’aise et après
cela il n’y a plus rien à souhaiter : un homme est
accompli.
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