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— Et quand il est devenu bandé, comme vous dites, c’est donc alors qu’il le fourre dans le trou de la fille ?

— Vraiment, oui, car cela ne se pourrait autrement ; mais c’est encore un autre plaisir de voir la peine qu’il se donne pour le faire entrer, car cela n’entre pas tout d’un coup, comme tu pourrais t’imaginer, mais petit à petit, et le garçon est quelquefois tout en eau avant que le tout soit dedans, à cause que la fille n’est pas assez large, et c’est là encore un plaisir de plus, parce qu’elle sent l’engin du garçon qui l’entr’ouvre à force de pousser et qui frotte contre les babines du con (c’est ainsi qu’on nomme le trou par où nous pissons), ce qui la chatouille doucement et voluptueusement.

— J’avais peur au contraire que cela ne lui fît mal, dit Fanchette.

— Point du tout, mon cœur, cela lui fait grand bien ; il est vrai qu’au premier coup de dard qu’on lui donne, et en le lui mettant dedans, elle sent une petite cuisson, parce que la route n’est pas encore frayée, mais ensuite cela ne fait plus que la chatouiller et lui cause la plus grande émotion.