Page:Le Degré des âges du plaisir, suivi de L’École des filles, 1863, T2.djvu/32

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était avant, devenir dur comme un bâton, sans qu’on puisse dire comment cela se fait ni par quelle vertu, car elle passe seulement deux ou trois fois sa main sur la peau, et le garçon qui sent cela ne saurait s’empêcher de bander, encore qu’il n’en aurait pas envie. Puis, comme il faut que tout se fasse par ordre et dans les règles du plaisir, la fille bien instruite sort le membre de la brayette, le regarde, le baise et lui donne une petite secousse pour l’achever de raidir, puis le laisse ainsi tendu pour s’en servir ensuite.

— Oh ! ma cousine, je ne pourrai jamais retenir tout cela ; faut-il donc qu’une fille sache toutes ces choses ?

— Oui, certes, et bien d’autres encore, car ce n’est pas là tout. Lorsqu’elle a passé quelque temps à l’exercice que je viens de te dire, elle essaye un autre plaisir pour mettre le garçon tout à fait en humeur. Elle lui met la main sur les pelottes qu’il a au-dessous de cet engin et les soulève mignardement en les passant et les repassant entre ses doigts, et quand elle a fini en cet endroit, elle badine avec ses poils, lui manie les fesses, les cuisses, et revient à lui branler la pique, en sorte que la tête qui est tout en sueur s’allonge, se