regarder les autres ; pendant ce temps, il glissa sa
main par la fente de mon cotillon et fit tant qu’il
parvint à me toucher la motte ; je sentis aussitôt
son membre tout raide qu’il poussait dessous moi,
et cela me mit en humeur de ne lui rien refuser ;
il eût bien voulu le passer par la fente du cotillon
et me le dit tout bas à l’oreille, car il n’osait
me trousser à la vue de tout le monde. Enfin, mesurant
avec la main combien il s’en fallait que
cette fente fût assez longue, il trouva justement à
l’endroit propice le trou que le feu avait fait à ma
jupe ; il me le dit sans perdre de temps, rangea
ma chemise, passa sa lance dans le trou et coula le
tout entre mes cuisses ; je m’accommodai là-dessus
le mieux que je pus et fis tant qu’il en entra bien
la moitié ; nous fûmes longtemps de la sorte sans
oser remuer ; néanmoins, faisant du mieux qu’il
pouvait, appuyant doucement du croupion, la
compagnie ne s’aperçut de rien ; quant à moi, je
me tins ferme sur pied et fis bonne contenance
jusqu’à la fin, mais j’eus assez de peine à dissimuler
le plaisir que je sentais. Une heure après il
me le fit encore un coup dans la même posture ;
depuis elle nous a bien servi, et j’ai béni cent fois
le cotillon qui m’a causé tant de plaisir.
Page:Le Degré des âges du plaisir, suivi de L’École des filles, 1863, T2.djvu/96
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