Page:Le Goffic - L'Âme bretonne série 1, 1902.djvu/107

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raccommodent leurs filets contre un pan de mur et la fumée qui monte en tire-bouchon des fourneaux en pierres sèches où l’on brûle le varech, se fond, s’harmonise, quitte de sa sauvagerie ou de son éclat et devient, avec l’automne, quelque chose d’incomparablement mélancolique et doux.

Cette fois, c’est la Bretagne.