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lettes, l’an passé, se perdirent au début de la pêche. Elles s’appelaient la Walkyrie, l’Aristide, l’Henriette. Et le nom de gloire qui flamboyait à sa poupe n’empêcha pas, un an plus tôt, une autre goélette de connaître le même destin près de Torlak.
Celle-là s’appelait le Pierre-Loti.