Page:Le Goffic - Poésies complètes, 1922.djvu/163

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« Et ce sang coulait du cœur transpercé
Et, tout en coulant de la plaie ouverte,
Ses rouges lacis traçaient sur l’eau verte
Le nom de la blanche et froide Jossé… »



Dans les landiers gris, le long du rivage,
Salaün chantait sous les cieux dolents :
— Avec les pluviers et les goélands,
Mon cœur est parti sur la mer sauvage…