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Page:Le Goffic - Poésies complètes, 1922.djvu/257

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Son corps divin, que vous cherchez au firmament,
S’est comme dilué mystérieusement.
Ô chrétiens, apprenez enfin à le connaître !
Pareils à ces maisons qui n’ont pas de fenêtre,
Vous ne voulez pas voir qu’il vient sur le chemin,
Triste, traînant la guêtre, un bâton à la main,
Qu’il est légion, lui qui n’a pas un disciple,
Et que vous l’avez là présent, un et multiple,
Mieux qu’en sa gloire, mieux qu’en d’éclatants tissus,
Dans les pauvres, qui sont les membres de Jésus.