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MEDIO DE FONTE DOLORUM…


À Alfred Poizat.


Pour qu’aucun des passants dont il est épié
N’accable des éclats d’une fausse pitié
Ton cœur où saigne encore une plaie écarlate,
Agis à la façon de l’enfant spartiate
Que mordait sous sa blouse un renard écumant,
Ô Maxence, et sur lui dispose habilement
Les plis d’une savante et feinte indifférence.
Mais, de retour chez toi, seul avec ta souffrance,