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RONDES
À Frédéric Plessis.
I
Tes pieds sont las de leurs courses.
Voici le temps des regrets.
L’automne a troublé les sources
Et dévêtu les forêts.
Toutes les fleurs que tu cueilles
Meurent dans tes doigts perclus.
Comme elles tombent, les feuilles,
Au bois où tu n’iras plus !