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Page:Le Masque 1912.djvu/357

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— J’étais certain qu’un Français tomberait sur ce passage.

Le jour baissait. Le vieillard se sentait las. Nous n’abusâmes pas de sa patience. Et nous partîmes sans bruit, émus par son accueil de bon patriarche.

La rue. Les lampes électriques. Le tapage de la foule. Les gestes inutiles. Les vaines paroles…


Stuart MERRILL.