honneur, sanctifiés et utiles au maître ; » — outre cela, Paul, apôtre de Jésus-Christ, ouvrier actif et zélé, est abandonné ; ceux qui auraient dû combattre pour la vérité ne gardaient plus « les rangs d’un cœur assuré ». Hélas ! tout cela était le prélude de maux plus grands ; Satan gagnant du terrain au dedans, comme il en avait au dehors, les Vrais serviteurs devinrent alors les objets contre lesquels s’exerçait la violence de ses agents ; — alors la maison de Dieu devint un lieu où désormais les méchants esclaves et leurs co-associés, « les ivrognes », se repaîtraient sans crainte. Cet état de choses, nous l’apprenons de la bouche du Seigneur lui-même, durerait jusqu’à ce que le maître revînt et exerçât le jugement (vers. 50). Le mal s’établirait et se développerait dans la maison qu’il avait bâtie et l’ordre qu’il y avait établi serait perverti, sans que le maître de la maison y apportât d’amélioration ; tout serait laissé à la responsabilité de l’homme, jusqu’au jugement. Ceci peut nous faire comprendre pourquoi le Seigneur attachait une si haute importance à ce que ses serviteurs, ceux que lui-même avait préposés à la garde de sa maison, veillassent activement et constamment. Or, une telle vigilance ayant manqué, la volonté du Maître fut remplacée par celle du serviteur ; « et ce veau », d’une nouvelle espèce, « en est sorti » (Exode XXXII, 24). — Aujourd’hui, le mal, à cet égard, est tellement développé, que, dans ce qui a la forme de maison de Dieu dans le monde, il n’y a aucune garantie, soit pour l’âme, soit pour la foi.
Entrons maintenant dans le chap. XXV. Le mot alors, que le Seigneur emploie en commençant ce chapitre, lie, ai-je dit, ce sujet-ci au précédent, duquel il résulte