Page:Le Nismois, La Tunique de Nessus, 1900.djvu/149

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visage sur son ventre et s’en farfouilla tous les poils. Elle le mordilla à la naissance de la queue, elle tourna et retourna la tête dessous les couilles, les cuisses et il se trémoussa, murmurant :

— Allah, Allah, elle est du paradis, elle est une femme du Seigneur, Allah, je jouirai bientôt, je veux te voir auparavant.

Elle s’arracha avec ennui à son suçage, se leva debout, il lui fit signe de quitter sa robe, de se mettre en chemise ; quand elle fut ainsi, il lui souleva ce vêtement par derrière, contempla ses fesses et dit :

— Beau cul, beau, beau, je le pensais, lui aussi, il aura sa part Place-le sur la pointe.

— Non. Ici, je ne donne le plaisir que par la bouche ; j’accorde la vue de mon corps, je ne vais pas plus loin. Je n’ai pas besoin de ton argent, on ne me paye pas.

— Moi, je paye et je veux payer. Tu es une fille du Seigneur et tu ne te refuseras pas à ton serviteur. S’il te plaît de faire jouir par la bouche, je jouirai par ta bouche. Je te demande ensuite de m’accorder ton cul : le veux-tu, femme ?