Page:Le Nismois, La Tunique de Nessus, 1900.djvu/150

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Il avait bon air en parlant ainsi, elle sourit et répondit :

— Tu es gentil pour la femme, tu mérites son amitié. Baisse ton outil et j’appuierai mon cul dessus. Je te donnerai après le plaisir par la bouche et, s’il te reste de la liqueur, je t’accorderai mon cul pour la verser.

Il abaissa sa queue, Irène vint s’asseoir par dessus, pesant sur elle du poids de ses fesses. Il bandait tellement que la queue la souleva, et qu’elle se jeta prestement dans ses cuisses pour le sucer avec toute sa science de mignardises.

— Allah, Allah, dit l’arabe, qu’elle houri, elle est la fille du prophète.

Il ne se contint plus et la jouissance fut telle que le désirait Irène. Les battements de la queue calmés, elle demeurait prostrée sur les cuisses de l’homme, les bras ballants, accroupie sur ses jambes, presque sans souffle.

Cette masculinité exotique, à saveur plus caractérisée, l’avait secouée dans toutes les fibres de son corps et elle tremblait sur ses cuisses, humectées de sa propre jouissance.

Sidi-ben-Mohammed lui caressa gentiment le visage de la main, comprenant son émotion ; il l’attira peu à peu, molle et flasque sur ses ge-