Page:Le Nismois, La Tunique de Nessus, 1900.djvu/186

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— J’ai bien fait de me reposer cette nuit, mes mignonnes, je vous fournirai votre part à chacune et on organisera sa petite vie. Annina, ta grossesse ne te tourmente pas ?

— Aucune fatigue, il y a des fois où je douterais, si mes époques n’avaient pas cessées.

— Bon, place-toi là, que Gabrielle assiste à notre plaisir ; ce sera son tour après et tu contempleras notre duo.

Annina avait levé sa chemise jusqu’au cou, pour bien sentir les chairs de Stanislas attaquant les siennes.

Stanislas enfonçait la queue dans ses cuisses et Gabrielle, curieuse de l’acte, descendit vers le milieu du lit pour mieux voir. Ainsi elle assista à la queue s’engouffrant dans le conin et elle tressaillit lorsque les jambes d’Annina et celles de Stanislas se tortillèrent dans l’assaut amoureux.

Elle ne résista pas à la tentation de promener la main tantôt sur les fesses de l’un, tantôt sur les fesses de l’autre et ses attouchements précipitèrent la jouissance.

À peine eut-il fini, que Stanislas l’appela près de lui et la grimpa sans désemparer, murmurant :