— Vous allez vous faire mal, intervint Annina saisissant la main.
— Tu es de retour, va voir si je me suis fait mal !
Elle souleva la chemise et le cul apparaissant, Annina, toute rouge, répondit :
— Vous avez frappé là, ça n’a pas marqué.
— Stani, attrape le sien et marque-le moi.
Elle ne résista pas à la main de son maître qui l’attirait, la troussait et saisissait son cul non voilé par un pantalon.
— Montre, montre-le, murmura Irène.
Stanislas tourna Annina et Irène, s’accroupissant rapidement sur le tapis, elle prit dans les mains ses fesses, commença les feuilles de roses et dit :
— Voilà ce qu’on fait, dès qu’on aperçoit le cul d’une femme, Annina : tu n’as pas deviné tout à l’heure quand tu as vu le mien.
— Oh, si ! Mais je n’osais pas ! Ah, ah, Monsieur Stanislas, elle me mord, elle me mange.
Stanislas bandait, il tenait dans ses jambes, contre lui, Annina qu’il pressait pour la livrer aux caresses de sa femme, celle-ci glissa en dessous, déboutonna son mari, sortit la queue,