Page:Le Nismois, La Tunique de Nessus, 1900.djvu/60

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l’appliqua dans les cuisses d’Annina, qui eût une velléité de recul, mais se colla davantage le cul sur Irène, laquelle, la queue de son mari dans la main, en caressa le bouton de la fillette.

— Que je voudrais caresser, murmura Annina.

Instantanément Irène s’arrêta, se releva, laissa tomber sa chemise, et attirant Annina dans ses bras, lui dit :

— Que veux-tu caresser ?

— Toute, toute, toute vous, vous êtes si belle !

— Toi aussi, tu me le dis ! Et bien, toi, tu en profiteras ! Tiens, je me mets à cheval sur mon mari, caresse-moi à ton idée et s’il enfonce sa machine, regarde bien où elle va, je veux qu’il te l’enfonce ensuite, sur le lit.

— Tout ce que vous ordonnerez.

Irène, à cheval sur son mari, se trouva immédiatement enfilée et quand Annina, accroupie au-dessous pour lécher le cul et les cuisses, la vit ainsi enconnée, elle considéra avec plus d’attention la queue, partageant ses baisers entre les chaire masculines et les chairs féminines.