— Il te manque peu pour arriver à la divinité amoureuse : tu as le marbre, tu n’es pas encore la statue. Tes seins sont ronds, bien séparés, au contraire des miens, mais ils n’ont pas l’expression de leur beauté parce que tu n’étudies pas l’attitude du corps : tu es massive sur tes jambes, avec des hanches volumineuses et un très beau cul, petite coquine, que je te caresserai comme tu as caressé le mien.
— Toi, tu me le ferais ?
— Je veux que tu connaisses tout par moi.
— Irène, je t’adore.
Elle voulut se mettre à genoux, Irène l’en empêcha, et continua :
— Tes poils sont très fournis et soulignent la blancheur de ton ventre ; ton petit bijou révèle un restant de pudeur que nous lui ferons passer ; tu as les cuisses plus fortes que les miennes.
— Elles ne produisent pas un si bel effet !
— Affaire d’habitude ! Une femme doit s’appliquer à harmoniser l’ensemble de son corps, avec la nuance de beauté qui s’affirme dans le visage. Tu es brune, espiègle d’apparence, on dirait presque hardie, et nue, tout te tasses, tu