Page:Le Nismois - L’Hermaphrodite, tome 2, 1902.djvu/39

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 31 —

Sa queue était sortie du con et furetait le cul dans la fente.

— Tu n’es pas adroit, Antioche, dit tout à coup Espérandie, tu cherches trop au-dessus. Là, il est là, le trou, petit cochon, pousse, encule-moi, les coups de martinet dont j’ai régalé le cul de l’abbesse, l’ont mis en chaleur ! Tu vas trop vite, c’est étroit, tu sais, eh là, là, pousse doucement, ça mord, tu entres, mon chéri, tu prends le cul de la jolie sœur Espérandie, n’est-ce pas que je suis jolie, dis-le tout de suite ou je chie ta queue.

— T’es jolie, t’es jolie comme un cœur, comme un cul, Espérandie, là, là, ne me décavale pas, je te tiens bien maintenant, ton trou a tout avalé et voudrait me manger les couilles.

— Parle plus, pousse, pousse, manœuvre, mon enculeur !

Toute enculée et toute enfiévrée, elle l’arrêta encore un instant, et en riant lui dit :

— Hein, si on entrait comme ça cette nuit chez l’abbesse, elle en ferait une tête ! Une idée, pour qu’elle cède et