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se faciliter dans leurs ivresses sensuelles.

Lupinius ne léchait plus le cul de Marthe, mais lui faisait minettes, ayant passé par devant entre ses jambes. Le moine qui montrait la queue, était venu derrière elle et remplaçait les feuilles de roses par de légers coups de queue, flagellant doucement le cul, avec promenades de plus en plus longues dans la raie, le gland se hasardant à coqueter avec l’anus qui ne le repoussait pas.

Marthe s’échauffait et ne s’effrayait pas ; elle se troussait elle-même pour mieux s’offrir à Lupinius dans ses minettes ; elle arrondissait le cul pour répondre à la fantaisie de celui qui s’apprêtait à l’enculer.

Raymonde tressaillait sous les larges sucées du frère Ovide, et apprenait l’art de la masturbation par celui qui menaça de la fesser, le frère Nestorien.

Marthe poussa un cri et échappa par une violente secousse à son trio de moines ; le frère Babylas ayant appuyé son gland sur le trou du cul, essayant de le franchir, et cette pression n’avait