pas été heureuse. Le cul, un peu resserré
de la fillette, pas assez préparé
pour l’acte sodomite, se refusait à sa
tentative.
Le cri de Marthe arracha Raymonde à l’engourdissement voluptueux qui la gagnait, elle se précipita vers son amie, et toutes les deux, face aux moines dont les yeux s’allumaient de lueurs luxurieuses, résolues à se disputer, les menacèrent du poing, criant :
— Non, non, plus rien, vous êtes trop nombreux.
— Les sales garces, dit Babylas, il faut qu’elles y passent toutes les deux ; on risque gros jeu pour l’hermaphrodite, il faut qu’elle soit raisonnable, n’est-ce pas, Antioche ?
— Bah, les frères, c’est trop jeunet pour de vaillantes pines comme les vôtres ! Ne les tourmentez pas et buvons ensemble, on fera la paix et on recommencera la manœuvre, quand on sera mieux disposé.
— Il y en a assez comme ça, dit Marthe, je retourne dans mon salon, avec Raymonde.