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Les martinets tapaient et tapaient ; les flagellantes s’animaient, leur teint se colorait ; elles tremblotaient sur les jambes, contorsionnaient leur cul, jetaient des regards d’invite sur l’assistance. Elles soupirèrent, se balancèrent sur les hanches, et leur corps accusa des défaillances ; elles tombèrent sur les genoux, et ne frappant plus, se mirent à lécher les culs flagellés, tandis qu’avec rage, elles se grattaient le bouton.

Survinrent les six premières apparues avec le jonc. Elles touchèrent à l’épaule les flagellantes qui se redressèrent, leur firent vis-à-vis, passèrent la main sur leurs poils, leur clitoris, les invitant à les honorer. Loin d’y consentir, celles-ci les repoussèrent contre les flagellées, ventre contre leurs fesses, et à leur tour les frappèrent à coups de jonc.

Sous les tressauts provoqués par les coups, elles frottèrent leur ventre contre le cul de celles qu’elles avaient flagellées, s’essayant à grimper par-dessus les croupes, et les douze culs s’agitant de plus en plus frénétiquement, on ne distingua plus que chairs blanches et dodues se