tordant dans la raie du derrière avec des
allures furibondes d’érotique jouissance.
Les clochetons reprirent un air musical, flagellantes et flagellées crièrent :
— Vive le cul !
Les contorsions de ces femmes excitaient une attraction magnétique sur toute l’assistance, il courut des frissons à travers les rangées des fauteuils, des jupes se soulevèrent, des mains s’égarèrent vers les cuisses, les femmes se chatouillaient elles-mêmes, les hommes massés derrière elles n’intervenaient pas encore.
Cependant les douze moines qui étaient entrés à la suite des femmes nues, s’approchèrent du groupe des flagellantes, détachèrent la corde leur servant de ceinture, corde munie de trois nœuds serrés à l’extrémité, et en distribuèrent de violents coups indistinctement aux flagellantes et aux flagellées.
Il y eut un sauve qui-peut général parmi ces femmes, les coups atteignant plus durement les fesses, et elles se précipitèrent vers le milieu de la galerie, défense leur étant faite de franchir les