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LA MAISON

bon Jardinier, tracas dont en ce moment Il nous préserve.

Alors, de nouveau, émus et tristes de l’inquiétude de l’univers, mais toujours entourés de la beauté et de la joie de notre grand jardin, un peu confus d’avoir été tout le jour si heureux, nous demandons à Dieu de faire que cette félicité vécue parmi ses fleurs, Il veuille qu’elle soit méritoire, qu’elle soit même expiatoire, puisque nous la lui offrons, et que nous brûlons de reconnaissance.