Aller au contenu

Page:Le Nouveau chatouilleur des dames, 1880.djvu/116

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
92
LETTRE VI

mien et relevant ma chemise il s’empara de mon petit joujou qui, à la suite de ce qui venait de se passer, se trouvait dans un état d’érection parfaite et fort excité.

Aussitôt qu’il l’eut vu et touché : oh ! je vois bien que je ne devrais pas hésiter à vous donner tous les éclaircissements que vous désirez, me dit-il en souriant car si ce petit monsieur ne sait encore que faire de sa personne, il est grand temps qu’il l’apprenne. Alors, plaçant un main entre mes cuisses il joua avec mes petits testicules et les caressa, tandis que de l’autre il exerçait des frictions fort agréables de haut en bas et vice versa, sur le pilier lui-même. Je suivis bientôt son exemple et cherchait à l’imiter de tout point en caressant les testicules et frottant le fourreau. Je m’aperçus bientôt que nos sensations de plaisir étaient réciproques, mais ceci ne fit qu’accroître mon désir de connaître le but et la signification de toute cette opération et je le priai de nouveau de mettre fin à ma perplexité.

Il sembla surpris de mon ignorance et dit qu’il pouvait à peine croire, en présence d’un joujou tel que le mien, (car il avait grossi considérablement depuis que vous ne l’aviez vu) que je ne savais m’en servir convenablement. Il sortit alors de sa poche le livre qu’il lisait et qu’il avait caché à mon arrivée, ce livre, contenait une charmant série de contes d’amour,