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Page:Le Nouveau chatouilleur des dames, 1880.djvu/144

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LETTRE VII

envie de me livrer à un examen plus approfondi de la grotte enchanteresse qui, je le savais maintenant, pouvait me procurer des jouissances plus enivrantes que celles que j’avais éprouvées jusqu’ici et j’y dardais mes regards chaque fois que l’occasion s’en présentait. Les charmantes lèvres roses se voyaient en partie à travers l’épaisse toison de touffes frisées dont elles étaient ombragées et à mesure que croissait en intensité l’excitation lascive, je pouvais les voir s’ouvrir et se refermer comme si elles obéissaient à quelque influence irrésistible. Ah ! combien je brûlais de donner à ce charmant réceptacle quelque chose à serrer et à embrasser ! Mais je craignais trop d’offenser Lady Lovesport pour me hasarder à en faire seulement la proposition.

Peu après, à mon grand étonnement, et comme ses mouvements voluptueux s’accentuaient de plus en plus, je crus voir quelque chose apparaître de temps à autre entre les lèvres du charmant orifice, et cette petite chose me parut ressembler à une réduction de mon propre emblème de virilité. Désireux d’avoir l’explication de ce spectacle inattendu, je me baissai de nouveau pour l’examiner et redoublai mes caresses sur le joli postérieur. Mais, à mon grand regret, le petit objet se retira dans sa cachette et je n’osai explorer sa retraite pour le voir de plus près. En observant attentivement l’endroit cependant, je m’aperçus que