Aller au contenu

Page:Le Nouveau chatouilleur des dames, 1880.djvu/145

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
121
LETTRE VII

lorsque je renouvelais l’application de la verge, le petit bijou se montrait de nouveau entre les lèvres de corail et quand j’activais le mouvement, il sortait entièrement de sa cachette. Ma curiosité et mon émotion étaient telles, que je ne pus m’empêcher de m’agenouiller et de mettre mon visage en contact avec la ravissante grotte que je couvris, ainsi que les parties avoisinantes, de brûlants et lascifs baisers. Tout à coup, il me vint à l’esprit que le genre de caresses dont vous aviez gratifié mon petit bijou et qui m’avaient donné tant de volupté pourraient peut-être agir de même sur Lady Lovesport ; et comme la drôle de petite chose, excitée par mes baisers, se montrait de nouveau hors de son fourreau de corail, je la saisis entre mes lèvres, et insérant le bout de ma langue dans l’orifice, je chatouillai et pressai la partie inférieure du petit prisonnier avec l’organe onctueux de la parole, l’enfonçant de temps à autre aussi loin que possible dans la délicieuse cavité. À peine eus-je entrepris cette lascive opération, que je sentis des mouvements fébriles agiter le corps charmant. Il se colla à mon visage, les fesses se remuèrent et je sentis le petit objet vibrer entre mes lèvres amoureuses. Cela dura bien une minute ou deux, puis un nouveau spasme fit vibrer tout le corps, les mouvements se ralentirent et je m’aperçus qu’une chaude rosée inondait ma langue et mes lèvres. Lady Lovesport alors