fesses qui acheva de lui faire perdre son
assiette.
— Oui, je crois, répondit Violette.
Là, maintenant, fais ma raie, écarte-moi le poil des deux côtés.
Je suivis à la lettre les instructions qui étaient données à ma petite amie.
— Est-ce là ? demanda Violette.
— Oui, et maintenant… la bouche… et si tu ne me fais pas jouir, je t’étrangle.
J’avais appliqué ma bouche à l’endroit indiqué et je n’avais pas eu de peine à rencontrer l’objet que dans sa maladresse feinte Violette était accusée de ne pas trouver ; la chose était d’autant plus facile qu’il était comme je l’avais prévu plus allongé chez la comtesse que chez les femmes ordinaires ; on eut dit le bouton d’un sein vierge raidi par la succion ; je commençai par le prendre et le rouler doucement entre mes lèvres.
La comtesse poussa un soupir de sensualité : Oh, dit-elle, c’est cela, si tu continues, je crois… je crois que tu ne me devras plus rien. Je continuai tout en atti-