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de sa propre beauté, et de celle de sa compagne ; puis elles prirent sur une chaise deux kaïcks blancs, l’un lamé d’or, l’autre d’argent, transparents comme de l’air tissé, et sur des cousins de velours cerise elles s’assirent à la table toute servie, où brillaient dans des carafes de verre mousseline le champagne frappé pareil à de la topaze liquide, qu’elles devaient boire dans le même verre, et plus d’une fois sur les lèvres l’une de l’autre.


Le Roman de Violette, Bandeau de fin de chapitre
Le Roman de Violette, Bandeau de fin de chapitre