je fusse là, me demander la permission.
Mais la bouche de la comtesse se colla à
sa poitrine et, non seulement elle baisa le
bouton, mais en le suçant le mordilla
avec les dents.
Violette laissa échapper un mouvement de sensualité.
— Ah ! voyez la petite polissonne, dit la comtesse. Cela n’est pas encore au monde et déjà cela ne demande pas mieux que jouir !
À l’autre maintenant, car il serait jaloux, si je ne le baisais pas comme l’autre.
Elle prit l’autre téton qu’elle suça comme elle l’avait fait du premier.
— Ah ! madame ! Que me faites-vous donc ? dit Violette.
— Mais je te carresse, mon cher amour. Ne t’es-tu pas aperçue du premier jour où je t’ai vue que j’étais amoureuse de toi ?
— Est-ce qu’une femme peut être amoureuse d’une autre ? demanda Violette avec un air d’innocence à faire dam-