Page:Le Roman du Renart, supplément, 1835.djvu/112

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Vers 2191-92 :

Ne sai que vaut la portisons,
Mais enqui nos en déduirons. (68 C., 195 C.)


Vers 2327-38 :

Voir, je n’y porroie monter
Que tost me porroie grever :
Mais faites [or] grant cortoisie.
Que vous ne mengiés ma partie. (98-14.)

Car faites or grant cortoisie ;
Si me jetés jus ma partie.


Vers 2347 :

Se sor crois non u sor moustier. (195 B.)


Vers 2349-66 :

Ce dit Renars : Or n’i a plus ;
Gitez-en donques ma part jus.
Thiebers respont : Mervoilles dites :
Pires iestes que nus erites.[1] (68 C., 195 C.)


Vers 2386 :

Qu’as poins vous viegne grande u menre.


Vers 2388 :

Ainsi Renars à Tybert tence.


Vers 2395-96 :

Diex, qui voit vostre repentance,
Vous en aljet la peneance.


Vers 2436 :

Ne m’en orroiz parler hui mès. (195 B.)

  1. Ce joli gab, qui ne se trouve pas dans le ms. 98-14, est présenté dans le 68 C. avec beaucoup de clarté et de concision.