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Vers 2214-18 :
Point de son droit ne li laira :
Je cuic que bien s’en gardera.
Vers 2215-16 :
Qu’il ne li merisse autre foiz,
S’il voit ne sente ne crochoiz.
Vers 2215-18 :
Que il n’i ait merel mestrait[1]
Se il voit chose qui lui plaist.
Vers 2249-50 :
Que Renars le conchiera,
Car il penra et partira.[2]
Après le vers 2250, ajouter :
Porpense soi que il fera,
Et coment il engignera.
- ↑ Merel mettrait, c’est-à-dire un coup mal joué, figure empruntée au jeu de merelle ou marelle. On lit, ms. 7607-5, fol. 64, verso, col. 2, vers 13953 de l’imprimé :
Mais bien a oï la meriele
De ce dont Roieniaus l’apele.
Li Dis dou Saingler, par Jehan de Condé, offre ces vers :
… Teis a le nom de hardi
C’on voit bien puis acouardi
Quant voit mettraite la meriele
Et mal partie la querele. - ↑ Ces deux vers se trouvent également en variante dans le manuscrit 68 Cangé ; mais comme Cangé a tiré ses variantes du manuscrit 98-14, nous croyons devoir nous borner à citer ce dernier chaque fois que le même cas se représentera.