Page:Le Roman du Renart, supplément, 1835.djvu/117

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.




C’est de Tibert le Chat et des deux Prestres.[1]


Vers 2482 :

Cuide que plus ne li estorche.


Vers 2589-90 :

Esgratiné l’a ent le vis,
Puis saute un saut et gete un ris.


Vers 2605-06 :

Où la fame au provoire séoit ;
L’uis desferme au verroillet,
S’avéu… (195 C.)


Le vers 2660,

A paine en sommes eschapés, (7607-5.)

par lequel se termine la branche, est suivi du 16301, qui appartient à la branche Cest de l’Ours et de Renart et dou vilain Liétart.
  1. C’est des deux Provoirs qui aloient au sane, et de Tibert le Chat. (68 C.)