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C’est de Tibert le Chat et des deux Prestres.[1]
Vers 2482 :
Cuide que plus ne li estorche.
Vers 2589-90 :
Esgratiné l’a ent le vis,
Puis saute un saut et gete un ris.
Vers 2605-06 :
Où la fame au provoire séoit ;
L’uis desferme au verroillet,
S’avéu…
Le vers 2660,
A paine en sommes eschapés,
- par lequel se termine la branche, est suivi du 16301, qui appartient à la branche Cest de l’Ours et de Renart et dou vilain Liétart.
- ↑ C’est des deux Provoirs qui aloient au sane, et de Tibert le Chat. (68 C.)