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C’est de la Jument et de Ysengrin.[1]


Vers 7554 :

Ne jà n’auriez nule poine.


Vers 7596-97 :

Que qu’Ysengrins à vuidier cerche,
Et qu’il le pié netoie et terche.[2]


Vers 7599 :

Entre deus yeuz sor le musel.


Vers 7602 :

Une liuée vait poiant.[3]


Après le vers 7610 et dernier :

Explicit d’Ysangrin et de la Jumant. (195 C.)

  1. C’est d’Ysengrin et de la Jument. (68 C.)
  2. Du verbe terser, terdre ; lat. tergere, essuyer, nettoyer.
  3. Poiant, péant ; du verbe poire ; lançant une pétarade,
    · · · · · · · · · · Le cheval lui desserre
    Un coup ; et haut le pied. Voilà mon loup par terre.
    La Fontaine, Fables, liv. XII, fab. 17.