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Page:Le Roman du Renart, supplément, 1835.djvu/167

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nier de la branche Si conme Renart fist avaler Ysengrin dedenz le puis.


Vers 7814-15 :

Et se sentit presques garis.
Li cuers li rit et li sautelle. (98-14.)


Vers 7857-60 :

Je l’ottroy, ce dit Ysengrin.
Et Renars acuet son chemin.(98-14, 7607-5, 195 B.)


Vers 7881-85 :

Sor la haie li fait un cran,
Puis si l’aquieut de pran empran.
Renars sot moult dou fondement,
Senblant fait ne l’en soit neant,
Et que ne puist plus tost aler ;
Qant [il] se vit adès aler,
Renars vait traïnant ses rains,
Et cil le cuide…


Ici viennent les vers 7876-78, suivis de ceux-ci :

Ta gorge iert mise en mon mantel.
Renars l’oï, moult l’en fu bel. (68 C.)

Ces deux derniers vers se lisent aussi au ms. 7607-5. :


Vers 7891-98 :

Si a jeté le bacon jus.
Dit Ysengrins : Or n’y ha plus. (98-14, 7607-5.)


Vers 7904-29 :

Errant s’en va à son bouisson,
Là le mengea sans demourée ;
A Renart ha la hart gardée.
Li villains retourna arrière,