Page:Le Sérail royal ou les voluptés secrètes d’un débauché - La Belle Letty, 1892.djvu/130

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sais. Je sentais des frissons dans tout mon corps sous l’action de cette langue qui me léchait tout l’intérieur du con, de ces deux mains qui me pressaient les fesses et de ce doigt qui m’enculait.

Ce qui augmentait encore la surexcitation qui me dominait, qui avait envahi toutes les parties sensibles de mon corps, ce furent les exclamations entrecoupées de soupirs étouffés que j’entendais par intervalles, sortant de cette bouche collée sur les lèvres de mon con : — Pisse… pisse, salope !… — et je finis par pisser, tandis que le vit que je tenais, que je suçais me pissait aussi son foutre.

Bibi fut tout joyeux d’avoir bu mon urine.

Un bon sommeil répara nos forces. Quand nous nous réveillâmes le jour commençait à poindre ; il fallait nous séparer. Mais avant, je voulus que Marietta fut foutue encore une fois.

Pour que les visites de Bibi ne fussent point suspectées, nous arrangeâmes nos rendez-vous à trois fois par semaine. Un jour de débauche et un jour de repos. Cela ne m’empêchait pas de faire de petites polissonneries avec ma bonne. Nous les répétitions même assez souvent. Les jours où nous étions sans homme, les mains, les doigts, la langue remplaçaient le vit ; et quand nous étions en train de faire les garces, nous n’en pouvions plus.