Page:Le Sérail royal ou les voluptés secrètes d’un débauché - La Belle Letty, 1892.djvu/180

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giné un si ravissant tableau ; tes fesses, ton cul, ton con dans un si petit cadre !…

— Regarde dans la glace, Mimi, et tu verras aussi mes tétons et ma langue. Cette langue de ta petite garce qui sait si bien te lécher… Moi aussi, je vois ce superbe vit qui va entrer dans mon corps ; qui va dépuceler ce petit cochon de trou ! Ah ! mon ange adoré, je sens que tu entres… il y est déjà à moitié et je ne souffre pas, au contraire le frottement est doux, il me fait du bien, je l’aime… Et toi, aimes-tu me le mettre là ?… Pousse un peu plus fort… Assez… Il y est, il est tout dedans… arrête !…

Elle retourna la tête pour voir l’impression que me produisait cette sale lubricité. Elle fut inquiète devant mon attitude un peu froide qui pouvait lui faire supposer que j’avais horreur de l’action qu’elle me faisait faire, et elle voulut le savoir.

— Dis, mon chéri bien-aimé, ça te dégoûte, n’est-ce pas ? Je t’ai demandé cette caresse pour te prouver combien j’étais heureuse de t’offrir ce que j’avais refusé aux autres ; mais si tu…

Je ne la laissais pas achever. Je me penchai sur son dos, je passai mes bras autour de son corps en l’attirant vers moi, et, collant mes lèvres sur sa bouche, dans un long soupir d’amour, je lui dis :