Page:Le Sérail royal ou les voluptés secrètes d’un débauché - La Belle Letty, 1892.djvu/181

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
177

— Je t’aime… je t’aime partout, devant, derrière où tout est toi !…

Mes paroles l’électrisèrent. Ses lèvres, sa gorge, ses cuisses, tout son être tremblait Elle se pâmait à la pensée que je l’enculais avec plaisir.

Alors, c’est donc bien vrai que tu aimes aussi mon derrière,… que tu veux que je sois ta petite gueuse ?… Que de titres je vais avoir, mon Mimi ?… Je les aurai tous gagnés à la pointe de ce cher vit qui est entre mes fesses, qui m’a si bien empalée ! Si tu en avais un autre de ces chéris, m’empalerais tu aussi par devant ?…

Cette exclamation me donna l’idée de la branler. Je glissai un doigt dans son con, de l’autre main je lui chatouillai le clitoris, et en même temps je commençai le va-et-vient dans son cul.

Soit par l’effet de l’imagination déjà excitée, soit par l’ardent désir de m’avoir livré son dernier pucelage, dès qu’elle sentit les premiers mouvements des doigts, les premiers coups du vit, elle ne put plus modérer ses transports, ses cris, ses soupirs de bonheur. Ses sens s’embrasèrent ; son âme délirait, son corps se tordait, se crispait : elle était comme folle.

Moi-même, je jouissais du délire que je lui faisais éprouver. J’étais heureux de presser cette belle chair nue, palpitante sous l’étreinte