Page:Le Sérail royal ou les voluptés secrètes d’un débauché - La Belle Letty, 1892.djvu/186

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Orgies et conclusion.


Le repas était fini depuis longtemps.

Je tenais toujours les vits de mes compagnons ; ils bandaient raide. Bibi prétendait que si la main était bonne, le con était meilleur.

— J’aime bien quand tu me branles, Letty, mais je préfère quand je te fous. Après les détails de l’histoire du cousin, tu dois être en feu, tu dois bander ? Ça se voit à tes yeux cochons, à tes lèvres frémissantes, aux pointes menaçantes de tes tétons !… Vois, cousin, comme ils demandent nos baisers ?… Prends-en un, moi je mangerai l’autre.

Ces deux bouches lascives me suçaient, me léchaient, me tiraient les boutons, et leurs doigts s’égaraient entre mes cuisses, entre mes fesses ; tout était à leur disposition.

Ils voulaient avant le dîner, répéter la fou-