Page:Le Sérail royal ou les voluptés secrètes d’un débauché - La Belle Letty, 1892.djvu/26

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Elle jouissait, elle se trémoussait dans des mouvements convulsifs, elle poussait du cul…

Sans détacher mes lèvres de son con, je balbutiai :

— Suis-je assez salope ?…

— Tu es cochonne et salope comme si tu n’avais jamais fait que ça. Mais tu le seras bien davantage quand tu auras bu la liqueur de l’amour. Pousse donc… plus fort encore, cochonne !… Enfonce tout… lèche… haï !… haï !… je meurs… à toi salope… à toi ma… belle… sa…lo…pe… Elle s’évanouit en me lâchant une quantité de liquide que j’avalai.

Elle était là, étendue devant moi, mourant de plaisir. Je l’admirais, je contemplais mon ouvrage.

Elle était réellement belle de volupté.

Ses tétons, avec leurs boutons de corail, se tenaient fermes, fiers, menaçants, et les lèvres de son con, encore entr’ouvertes de mes baisers, et toutes barbouillées du foutre qui en était sorti, m’invitaient à reprendre l’agréable exercice de ma bouche. Mais Marietta, se dressa subitement, m’enlaça, me porta sur le lit et me fit coucher sur elle en sens inverse.

Je trouvai cette pose plus enivrante que l’autre, car je sentis immédiatement sa langue se promener sur mon clitoris, ses mains me presser les fesses et un doigt me perforer le cul.