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Page:Le Sérail royal ou les voluptés secrètes d’un débauché - La Belle Letty, 1892.djvu/82

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leur prouver ce que je disais, j’empoignais leurs deux membres, je les branlais en même temps et je les fis décharger presque ensemble.

Ils tombèrent inanimés de tant de plaisir. Ils reprirent leurs sens plus enragés que jamais. Ils me tripotaient comme une pelote, voulaient me foutre avec les jambes en l’air. L’un me présentait son membre pour que je le lui suce, l’autre me patinait les fesses en m’enfonçant le doigt. J’avais de la peine à empêcher leur folie. Enfin je dus les contenter pour les faire tenir tranquille. Je me mis à cheval sur celui qui avait le plus gros vit, tandis que l’autre, se tenant derrière, m’encula.

Quelle divine sensation, Letty !… rien n’est comparable à cette enivrante saleté !… Une femme qui l’a goûtée ne peut plus rester fidèle à un seul homme ; il lui en faut deux et en même temps.

Aussi pour ne pas perdre mes deux fouteurs, je fis tout ce qu’il voulurent, et ils s’en donnèrent les cochons !… tous mes trous y passèrent l’un après l’autre, par deux à la fois. Je ne sais ce qu’ils avaient mangé, leurs vits ressemblaient à deux robinets qui coulaient toujours dès qu’ils entraient en moi.

Enfin, après une halte de quelques minutes, ils partirent contents, joyeux de leur soirée, en me laissant mon petit cadeau, dix livres, et en me promettant de revenir sou-