Page:Le Theatre italien de Gherardi - Tome 4.djvu/370

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
Les Adieux des Officiers.
335

tollier • & fan billet• & rentre dans le Coffre. qui fa reforme d’abord. ) VENUS. Plurus, Plutus ? J’ay juré par le Stix,, il eft vray ; ce ferment eft inviolable pour les Dieux : mais les Déellès ont des ,pricvileges, & moy fur tout,. à qui Pâris a donné la Pomme , non pas pour m :r beauté , comme le d.tfent les Poëtes ; mai9 feulement, parce que je fois la Dédfe del’Amour. Cette Pomme my !lcricuîc , ~ croît au pays des Normands , rrouvc que Vcnus amoureufc , , A droit, aufli-bien qu’eux, de rompre fes iêrmens. M’ehtendez - vous, Plutus ? Pluru !.,. mon cher Plutus ? SCENE VI. VULCAIN~ VEN US :• .VULCAIN fort11nt duCoffre "" liè11 de Pl1m11. & contrefaifant Venus. PLutus, Plutus, mon cher P-lurus ! If n’y à point de Plutus-pour vous ; c’effmoy qui ay pris fa figure pour vous éprou’ver, Coquette fieffée. Oh, je jure par fe· Srix ( moy qui n’ay pas le privilege de~ dédire.~ •. ) " ,