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Les Adieux des Officiers.
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JU-P I TER. La plus grande confc ::>lation ciu’on puilte donner à un !Jlary affiig~, c eft l’abondance des biens dans fa maifon. J’ordonne donc que chacun vknne faire un pte-- (ent à Vulcain, & luy donne uli conftil convenable a~ prc(em qu’il fera. Je vais com1nencer. { li l•J prrfa11te .,, Bll11f & Hn MMtofl.)

?vlon cher amy v’wcain ~ pour a•oir l’abondance, 

Tu dois joindie dans ta mai !on, bu Bœuf laborieux la forte patieuce , Avec la douceUI d1i Moutou. VULCAIN. An, Jupircr 1 pour ri,ompcnfc D’un confcil qui chez 1110yva canfer l’abondance, Je te veux donner des fouh :iits. · <l !!s· ton Voifi11 chez toy pui !fe mcme la p.us. ~ t1 Junon jamais ne gronde, . l.orfquc mcLme à f’es yeux tu Cera.1 déloyal : Enfin, quoique ru m :tnque au devoir ,oniugal i . ~Ile ne laiffe pas d’drc toujours fcconde. JUNON . -cibe/e. Allons’ ; ma Grand’rnere Cibele, Tiret. donc dè ntre èfcan :dle ~ !que prefent rour cet Enfant. CÎB !lE tir, de grlll’Jde, L !inlttes tlun ltu~ JUNON. "Bon ! cccy luy convient. ( à Vult.tm,) -Vulcain :,, pîCns ces Lunettes, ~ mi~tuamincr ce que fait ta moitié. · Ff iiij ’"" ,