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Les Adieux des Officiers.

VULCAIN. Je crains que pour en voir feulement la moitié’.,, Elles ne foiem pas affez nettes. Mais morbleu > on fe moque de moy !, Parlafang. ••. ’ · MO MUS s’11dre/fant ÀJupiter, chante~ De fa Venus la complaifanre adrdfe, ~ nd il voudra peut faire fon bonheur. Mais ta Junon, en faifom la Diable !fe, Te vend bien cher un chimerique bonne~ VULCAIN. Et bien Couvent une faulfe faO’ellé, J>em à l’Epou :x caufer un •ray ~alheur. L’ 0 CE AN v,ut p4rler, & touffe toujourr. VULCAIN. l’Ocean e !l : bien flegmatique ! - L’OCEAN. ’ Je te fais prefem de ma toux. Rien n’efl : plus fouverain pour un mary jalonx,.. ~laragedansl’ame, , y eut fe cacher pour furprendre fa femme. Je fouhaite à tous ceux de ta focieté Qien pareil cas leur gofiçr irrité, ’ · . Trahiffe

Leur forte cnriofité ,

fa leur ép :i’rgue le fupplice • D’efhe pleinement convaincus Qi.on les a fait ( il touffe) Cocus. VULC Al N. Ce qui t’enrhume de la forte , C’cfi que ton Epoufe Thetis ’Tc : fait fouvcnt coucher fur le pas de la porte, Pendant que le Soleil diflipe fes ennuis•. " ;