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Page:Le Theatre italien de Gherardi - Tome 4.djvu/381

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Les Adieux des Officiers.


MO MU S eb.,nte. Je ’IOUS : :pprcns qu’une Ticilte Coquette Eut l’autre jcor la mefme cruaté ; Et pour l’ a,.,oir forprifc à fa toilette ~· Un Cau.lier en tu. fort maltraité. VULCAIN. ~ lapudeur icd bien à la fillette ~ L01fqu’cUc cil jointe aiacquc la bca~ ! P LU T O N Mnn""t ,m Bitie,u • P#IQI ;,,. Nous femmes deli :inez tous deux A comrn :?Bèer les malhcurcœ ; Moy dans l’tnfcr, toy dans le marfagc. De nos Sceptres cornus faifcns donc le partage. · VUL C A·tN. ’ton lot n’ eft p :rs ~gal :ru mien ; [ ge~ Car fi tous les Cocus Tenoicnt me rendre homma-

Mcn Empire fereit bien plus grand que. le tien.

BACCHUS chame en riant. Ah, ah, ah, Comrere Vulcain t Ah, ah, ah ! le plaifant ufage D’ellre chagrin du Cocuage ! Hé, hl· ! cc n’eft 17 :15 dhe fage,. De pleurer ert Îecret ~nd on a chez foy le fu :et <l !i fait rire , qui fait rire le voi&nage. ( If-Jo,, :.. ne un verre. - Vule11in, & À’ tol#s les 4Htres Dieu,&, O’ J,ur ’llerfe À boire.) . MOMU-S eblfflte. ~ 1e ch2cu11 vienne remylfrtôn verre,. Pourboire à la fam~ du Contin. Voicy le ~nqnina falutaire, ~ i guerit la fiévrc de Vulcain, 1’2ri :a~ez tous cette medccinc. MauJit foit qai ne s’en munira, Contre un mal qui p1·end à la fourdine ? Si ~ ne ravn il vcus viwdra.. " ,