Page:Le Theatre italien de Gherardi - Tome 4.djvu/380

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
Les Adieux des Officiers.
345


MOMUSchante. - Ce Dieu brûbnt, pendant route l’année,. _ Chaufe ton lit, pour te faire plaifir : Mais u :1 vieux fou qui prend jem :e époufée , C’cfl : une mer qu’en ne Cçauroit ta11r. VULCAIN. L01fqu’un Vieillard a la te’te chargée, Il a beau faire, il n’en peut pas guerir. D1 A NE donnant un Croijfant À Vu1"1in ; Je gardois pour un Epoux Le plus brillant des bijoux. Mais, Coufin, ton mauvais ménage M’a dégoûté du mariage, _Et c’efl à toy que je feray pre[e_nt De mon Croiffant. VULCAIN ÀDiane. Divinité mélancolique , A(he bi7arre & lunatique, Déelfe des pafles-coulcurs, Vous faites bien d’éviter les malheurc-Qi _attire aprés Coy l’hymenée ; Car li vous efüez rnarile, Vous ferie7. votre Epoux Jaloux. DIANE. n n•appanient qu’à Mornus , & qn’à vous ,. De médire d’une Déeffe, ~ fit de cenr-_ f~ ~ons Ces pr~uves de Cagcife. Avez-vous oublie la Fable d Alleon l Je le maltraitay fort , dit-on, Parce qu’il me furprit fans Voile & fan, Cor-- : .,. nette Dans le Bain. Convenez avec fmcerité , . - . ~ ’il efi : peu de femme bien faite , ~ i pour.un Cavaliq.cût cçi :tc cruaw :~ .. . ,.,. Cooglc