Page:Le Tour du monde - 04.djvu/46

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sur un arbre, et avant que je pusse le viser, il était tout en haut. Je le tirai presque au hasard, et je fus bien surpris quand je le vis tomber en s’accrochant de branche en branche ; arrivé à terre, il était mort. J’en avais assez pour ce jour-là et je revins à la case, portant ma chasse, qui me parut très-lourde.

Le chat sauvage.

Tout n’était pas plaisir, même dans les sites les plus charmants, et parmi les désagréments dont il ne me fut jamais possible de prendre mon parti, l’honneur du premier rang ne peut être disputé aux moustiques qui me tourmentaient partout, au logis et dans la forêt.

Moyen d’écarter les moustiques.
La moustiquaire.

Pour éviter leurs piqûres pendant mon travail, j’avais