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Page:Le Tour du monde - 40.djvu/439

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À la recherche des indigènes. — Pas de porteurs pour franchir la montagne. — Je brûle mes vaisseaux. — Un repas homérique aux sources de l’Oyapock. — Légende d’Anancy. — Le coup de l’étrier. — Une heureuse rencontre : nous atteignons un village oyampys. — Une ménagerie. — Un détail de fabrication des poteries. — Pas de pays où l’on rencontre plus de ruisseaux. — Manière de franchir les arbres tombés. — La folie des voyages. — Adieu à mes souliers. 
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Jean-Pierre dans les honneurs. — Une rivière à chaque pas. — Vernis noir sur les roches. — La cigarette des Oyampys. — Chasse à l’agouti. — Mœurs des Indiens. — L’art culinaire en déshonneur chez les hommes. — Manières spéciales de manger et de s’asseoir. — Arrivée chez Acara. — Un heureux mortel. — Une situation lamentable. — Manière d’éloigner les serpents. — Un Indien qui a quelque ressemblance avec les Chinois. — Les Oyampys savent dessiner. — Vêtement appelé couyou. — Les Pleiades servent à indiquer les saisons. — Un singe qui casse des noix. — Indications géographiques. — Il n’y aura bientôt plus d’Indiens. — Absence d’embarcation au dégrad. — Nous construisons une pirogue d’écorce. 
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Une race qui s’éteint. — Piqué par un scorpion. — Suicide de cet insecte. — Un voyageur qui n’est malade que dans ses moments de loisir. — Fuite des porteurs. — Un canot au fond l’eau ; un autre avarié. — Un passage à coups de hache. — Brûlés par le suc d’un arbre. — Pêche de l’aymara. — Une tonnelle. — Indien blessé. — Honoré. — Raccommodage des canots. — On trouve des cordages et de l’étoupe dans la forêt. — Terrains noyés pendant la saison des pluies. — Toujours la hache à la main. — Déception. — Nouvelle espérance. — Un nid de mouches à miel. — Oasis au milieu du grand bois. — Le repas des serpents. — Guêpes comestibles. — Nouvelles difficultés. — Découragement. — Murmures. — La dernière cigarette. 
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Bagages avariés. — Petit saut. — Enfin nous atteignons la crique Kou. — Pirogues coulant bas. — Des sauveurs. — Une lettre. — Une riche collection. — Arrivée chez les Calayouas. — Besoin de repos après une marche vertigineuse. — Apatou malade. — Privation de sel de cuisine. — Le Yari. — Plaisir de revoir un lieu de combat. — Faut-il battre en retraite ? — En avant ! 
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Culture du manioc. — Vie facile des Roucouyennes. — Trois malades dans une armée de quatre hommes. — Défection des convoyeurs. — Un lever de soleil. — Le dernier des Apourouis. — Le vrai nom des Roucouyennes est Ouayana. On en parle dans les vieux grimoires. — Gourmandise punie. — Petite guerre entre Bonis et Apourouis. — Une visite à feu Macuipi. — Sépulture d’un piay. — Législation du mariage chez les Ouayanas. — On épouse la mère pour épouser les filles. — Titre de noblesse et patrie sacrifiés à l’hyménée. — Après l’accouchement c’est l’homme qui se couche. — Asperges à l’arrivée d’un voyageur. 
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Le maraké. — Préparatifs de La fête. — Un chapeau monumental. — Ceinture en poil de couata. — Grelots. — Panache dans le dos. — Battant du tambour avec les pieds. — Le supplice des fourmis et des guêpes. — Un médecin qui se fait prier. — Les trois diables qui gardent les sources du Yari. 
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Une lettre avant la bataille. — Au voleur ! — Pas de guides ni de porteurs. — Adieu Vat ! — Les Indiens se laissent entraîner. — Marche accélérée. — Soif insatiable. — Ligne de partage des eaux entre le Yari et le Parou. — Nous entrons dans une région nouvelle. — Étrange, usage des chasseurs roucouyennes. — Dolmen élévés au diable. — Manière d’indiquer l’absence. — Grossiers personnages qualifiés de maipouri. — J’engage une lutte contre la maladie. — Battu. — Je reviens à la charge. — Vainqueur. 
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Monarques cantonniers. — Manière de se chauffer pour éviter une surprise. — Osiers de la Guyane. — Étymologie de la crique Apaouani. — Les deux femmes du tamouchy ; il faut rechercher les bonnes grâces de la vieille. — Chasse à l’aï. — Il est ennuyeux d’être médecin pour voyager en Guyane. — Tuer et baptiser. — Apatou missionnaire évangélique. 
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Nous atteignons la rivière de nos rêves. — Le Parou ! — Un bain dans une eau vierge. — Récapitulation d’une course au clocher. — Danse du pono. — Caneapo. — Indiens déguisés en juges faisant claquer le fouet. — Roches mamelonnées formant un barrage. — Bon accueil. — Histoire d’un couteau. — Il est avantageux d’accomplir ses engagements. — Toujours la discorde dans nos rangs. — Combat des hercules noirs. — Désobéissance. — Je sauve la vie d’un colibri. — Site pittoresque. — Le berceau et les aiguilles des Roucouyennes. — Petit commerce des indigènes. — On paye d’avance. 
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Maison sur un arbre. — La chute des feuilles en été. — Véritable rivière des Amazones. — Description de ces femmes qui ont fait rêver nos grands-pères. — Autant de galons que d’enfants mâles. — Comment on devient amiazone. — Un souper frugal dans ce pays légendaire. — Mangeur de termites. — Influence de la latitude et de l’altitude sur mon état sanitaire, — Le kinoro. — Un monolithe. — Les impressions de voyage d’un Indien dans le pays des blancs. — Ananas sauvages. — Sentier du Parou au Maroni. — Renseignements pour les chasseurs de coqs de roches. — Canot chaviré. 
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