Page:Le dragon blesse Croisset Francis 1936.djvu/170

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rait, au nom de quatre cents millions d’âmes, offrir au ciel dont il est descendu le pur sacrifice que depuis quatre mille ans le Seigneur de la Terre offrait aux puissances invisibles ?

Derrière moi, un clairon triste sonne mollement ; ce sont des soldats chinois qui paresseusement font l’exercice.

Je songe aux pages d’Abel Bonnard : Chine immuable…